Le poème interminable

Des grandes dunes de l'infini désert,
Surgit un démon venu des enfers,
Brûlant de milles et un feux bleus,
Seulement connu de ceux qu'il a rendu hideux,
Des victimes innombrables de ses pouvoirs,
Aucune n'a jamais gagné la victoire,
Tous, à jamais, se sont éteints

Des grandes dunes de l'infini désert,
Surgit un démon venu des enfers,
Brûlant de milles et un feux bleus,
Seulement connu de ceux qu'il a rendu hideux,
Des victimes innombrables de ses pouvoirs,
Aucune n'a jamais gagné la victoire,
Tous, à jamais, se sont éteints
Redevenus poussières, ils ne sont plus rien.
Rien de plus que des grains de sable supplémentaires.

Des grandes dunes de l'infini désert,
Surgit un démon venu des enfers,
Brûlant de milles et un feux bleus,
Seulement connu de ceux qu'il a rendu hideux,
Des victimes innombrables de ses pouvoirs,
Aucune n'a jamais gagné la victoire,
Tous, à jamais, se sont éteints
Redevenus poussières, ils ne sont plus rien.
Rien de plus que des grains de sable supplémentaires,
Qui s'amoncèlent dans cet immense désert,
Au confins du monde des rêves mystérieux.

Des grandes dunes de l'infini désert,
Surgit un démon venu des enfers,
Brûlant de milles et un feux bleus,
Seulement connu de ceux qu'il a rendu hideux,
Des victimes innombrables de ses pouvoirs,
Aucune n'a jamais gagné la victoire,
Tous, à jamais, se sont éteints
Redevenus poussières, ils ne sont plus rien.
Rien de plus que des grains de sable supplémentaires,
Qui s'amoncèlent dans cet immense désert,
Au confins du monde des rêves mystérieux.
Pourtant, cela nos rien du paradis de vos voeux,
C'est un lieux qui toujours vous hantera

Des grandes dunes de l'infini désert,
Surgit un démon venu des enfers,
Brûlant de milles et un feux bleus,
Seulement connu de ceux qu'il a rendu hideux,
Des victimes innombrables de ses pouvoirs,
Aucune n'a jamais gagné la victoire,
Tous, à jamais, se sont éteints
Redevenus poussières, ils ne sont plus rien.
Rien de plus que des grains de sable supplémentaires,
Qui s'amoncèlent dans cet immense désert,
Au confins du monde des rêves mystérieux.
Pourtant, cela nos rien du paradis de vos voeux,
C'est un lieux qui toujours vous hantera
Par la crainte de vous retrouver entre ses bras
Et qu'il vous dérobe cette volonté qui vous distingue


PS : je crois Alfa que tu as fait une faute, sinon, je ne vois pas le sens de la phrase. Tu as écris "cela nos rien du paradis de vos veux", je pense que tu voulais plutôt dire "...n'as rien du paradis...", non ?

Bien, après tout ce temps, je suppose qu'il est terminé. Il nécessite juste une petite correction...

Des grandes dunes de l'infini désert,
Surgit un démon venu des enfers,
Brûlant de milles et un feux bleus,
Seulement connu de ceux qu'il a rendu hideux,
Des victimes innombrables de ses pouvoirs,
Aucune n'a jamais gagné la victoire,
Tous, à jamais, se sont éteints
Redevenus poussières, ils ne sont plus rien.
Rien de plus que des grains de sable supplémentaires,
Qui s'amoncèlent dans cet immense désert,
Au confins du monde des rêves mystérieux.
Pourtant, cela n'as rien du paradis de vos voeux,
C'est un lieu qui toujours vous hantera
Par la crainte de vous retrouver entre ses bras
Et qu'il vous dérobe cette volonté qui vous distingue



En effet Exi tu as raison, je ne sais pas ce que j'ai eu, n'y pourquoi je n'avais pas lu ta réponse avant .

Puisque Néronn propose de clore le poème je t'en prie écrit le dernier vers de ce poème et le premier / ou les trois premiers vers du suivant.

Des grandes dunes de l'infini désert,
Surgit un démon venu des enfers,
Brûlant de mille et un feux bleus,
Seulement connu de ceux qu'il a rendu hideux,
Des victimes innombrables de ses pouvoirs,
Aucune n'a jamais gagné la victoire,
Tous, à jamais, se sont éteints
Redevenus poussières, ils ne sont plus rien.
Rien de plus que des grains de sable supplémentaires,
Qui s'amoncèlent dans cet immense désert,
Aux confins du monde des rêves mystérieux.
Pourtant, cela n'a rien du paradis de vos voeux,
C'est un lieu qui toujours vous hantera
Par la crainte de vous retrouver entre ses bras
Et qu'il vous dérobe cette volonté qui vous distingue
Pour tout simplement finir dingues.


Je me suis permis de le terminer et voilà le début d'un autre pour le relancer ce sujet. (Remarque: "suis-je" du verbe suivre)

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?
Cette plante, en son regard je me noie,
Elle m'est si douce et si légère...

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?
Cette plante, en son regard je me noie,
Elle m'est si douce et si légère...
Je m'émerveille devant cette beauté de la terre,
Mais moi, j'ai perdu la voie de cette beauté.

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?
Cette plante, en son regard je me noie,
Elle m'est si douce et si légère...
Je m'émerveille devant cette beauté de la terre,
Mais moi, j'ai perdu la voie de cette beauté,
Car monstre je suis devenu et resté.
Au fond de mon cœur et mon âme,

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?
Cette plante, en son regard je me noie,
Elle m'est si douce et si légère...
Je m'émerveille devant cette beauté de la terre,
Mais moi, j'ai perdu la voie de cette beauté,
Car monstre je suis devenu et resté.
Au fond de mon cœur et mon âme,
Je ne puis accepter cette lame.
Je redeviendrai l'être que j'étais auparavent

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?
Cette plante, en son regard je me noie,
Elle m'est si douce et si légère...
Je m'émerveille devant cette beauté de la terre,
Mais moi, j'ai perdu la voie de cette beauté,
Car monstre je suis devenu et resté.
Au fond de mon cœur et mon âme,
Je ne puis accepter cette lame.
Je redeviendrai l'être que j'étais auparavant,
Malgré la force des vents,
Je revivrai à nouveau en tant qu'Homme.

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?
Cette plante, en son regard je me noie,
Elle m'est si douce et si légère...
Je m'émerveille devant cette beauté de la terre,
Mais moi, j'ai perdu la voie de cette beauté,
Car monstre je suis devenu et resté.
Au fond de mon cœur et mon âme,
Je ne puis accepter cette lame.
Je redeviendrai l'être que j'étais auparavant,
Malgré la force des vents,
Je revivrai à nouveau en tant qu'Homme
Et je retournerai à Rome
Le coeur léger, l'âme libéré.

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?
Cette plante, en son regard je me noie,
Elle m'est si douce et si légère...
Je m'émerveille devant cette beauté de la terre,
Mais moi, j'ai perdu la voie de cette beauté,
Car monstre je suis devenu et resté.
Au fond de mon cœur et mon âme,
Je ne puis accepter cette lame.
Je redeviendrai l'être que j'étais auparavant,
Malgré la force des vents,
Je revivrai à nouveau en tant qu'Homme
Et je retournerai à Rome
Le cœur léger, l'âme libérée.


On s'arrête la ? Je trouve la fin plutôt sympa

D'accord. Alors ça fera:

La fleur aux mille pétales s'ouvre enfin.
Elle guide alors mon chemin,
Mais pourquoi suis-je cette voie ?
Cette plante, en son regard je me noie,
Elle m'est si douce et si légère...
Je m'émerveille devant cette beauté de la terre,
Mais moi, j'ai perdu la voie de cette beauté,
Car monstre je suis devenu et resté.
Au fond de mon cœur et mon âme,
Je ne puis accepter cette lame.
Je redeviendrai l'être que j'étais auparavant,
Malgré la force des vents,
Je revivrai à nouveau en tant qu'Homme
Et je retournerai à Rome
Le cœur léger,
L'âme libérée.

Irnalior, si tu veux continuer ce jeu, celui qui achève un poème doit commencer le second en mettant le premier vers ou les trois premiers

Ok.

Dans la plaine immaculé,
Je me tenais, fasciné.
Cette plaine du désir

Dans la plaine immaculé,
Je me tenais, fasciné.
Cette plaine du désir
Où réside mon désir
N'attendait que moi

Dans la plaine immaculé,
Je me tenais, fasciné.
Cette plaine du désir
Où réside mon désir
N'attendait que moi
Mais moi, je t'attendais, toi.
Toi, que fais-tu?

Je pensais tellement à désir que je l'ai réécris -_-', je me suis donc corrigée sur ce post.

Dans la plaine immaculé,
Je me tenais, fasciné.
Cette plaine du désir
Où réside mon plaisir
N'attendait que moi
Mais moi, je t'attendais, toi.
Toi, que fais-tu?
Me rejoindras-tu?
Avant, profite bien de ta vie

Dans la plaine immaculé,
Je me tenais, fasciné.
Cette plaine du désir
Où réside mon plaisir
N'attendait que moi
Mais moi, je t'attendais, toi.
Toi, que fais-tu?
Me rejoindras-tu?
Avant, profite bien de ta vie
Car c'est la plaine où tout finit.
Alors, quel ton choix?

Dans la plaine immaculé,
Je me tenais, fasciné.
Cette plaine du désir
Où réside mon plaisir
N'attendait que moi
Mais moi, je t'attendais, toi.
Toi, que fais-tu?
Me rejoindras-tu?
Avant, profite bien de ta vie
Car c'est la plaine où tout finit.
Alors, quel ton choix?
Le palais de la mort avec moi?
Ou l'éphémère et rude existence seul?

Dans la plaine immaculé,
Je me tenais, fasciné.
Cette plaine du désir
Où réside mon plaisir
N'attendait que moi
Mais moi, je t'attendais, toi.
Toi, que fais-tu?
Me rejoindras-tu?
Avant, profite bien de ta vie
Car c'est la plaine où tout finit.
Alors, quel ton choix?
Le palais de la mort avec moi?
Ou l'éphémère et rude existence seul?
Choisis bien car ton choix pourrait être ton linceul.

On arrète là?

Ca me va, vu que tu n'as fait qu'un vers je te laisse débuter le suivant.

Je me tenais là,
Quand soudain tout bascula.
Je me suis retrouvé devant toi