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| | Le poème interminable | |
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Auteur | Message |
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Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009
| Sujet: Re: Le poème interminable Ven 11 Sep - 7:20 | |
| La pluie nous berce de ces sons irréguliers, C'est un chant offert pour nous faire rêver Ecoutons cette eau parler de sa belle voix. Avant que les chasseurs n'arrivent et que les chiens n'aboient. La horde des cerfs est encore endormie. Dans la forêt il semble que plus rien ne vit, Hormis, quelques chouettes en quêtes de rongeurs. Rien n'est encore sorti de sa torpeur. Le vent souffle à travers les branches, Faisant craquer les bouleaux à la peau blanche, Les seuls à éclaircir ce sombre bois. Où la lumière lunaire, contre les hautes branches, ploie. Soudain, le soleil se dessine, Au travers des arbres on le devine. Encore trop faible pour nous éblouir, Les ténèbres, il est venu bannir. Pour notre réveil il lutte vaillamment, Afin de chasser le calme nocturne du firmament, En illuminant un peu notre vie aventureuse. Et en nous dévoilant les plaines herbeuses, Qui, ondulant sous le vent, Ressemblent à des cheveux que l'air rend vivants. Peut-être que la Terre en est la tête, Et que ses pensées s'arrêtent net, Lorsque le soleil rougeoie, Ce qui est désormais le cas je le crois. Les oiseaux accueillent cet astre, Et de leur chant, chassent les désastres, Que les humains infligent dans leur folie, Ce sont eux qui appellent la vie, Et noient les méfaits de l'homme, Dans une symphonie qui gomme, Part la même occasion, Les sensations et les interrogations. Mais seuls, leurs piaillements ne suffisent plus, Car le reste du bois s'est tu, A l'arrivée de l'artisan du malheur, Un être sombre qui fait trembler de peur Tous les animaux, qu'ils soient petits ou grands, Craignent ensemble ce démon malfaisant, Qui de part sa vile nature, Les fait vivre sous la torture. La société animale devient bestiale, Et la bête, à l'image de Bélial, Détruit par fausse nécessité, Semant le desastre de tous les cotés. Les êtres attendent un miracle, | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Ven 11 Sep - 7:39 | |
| La pluie nous berce de ces sons irréguliers, C'est un chant offert pour nous faire rêver Ecoutons cette eau parler de sa belle voix. Avant que les chasseurs n'arrivent et que les chiens n'aboient. La horde des cerfs est encore endormie. Dans la forêt il semble que plus rien ne vit, Hormis, quelques chouettes en quêtes de rongeurs. Rien n'est encore sorti de sa torpeur. Le vent souffle à travers les branches, Faisant craquer les bouleaux à la peau blanche, Les seuls à éclaircir ce sombre bois. Où la lumière lunaire, contre les hautes branches, ploie. Soudain, le soleil se dessine, Au travers des arbres on le devine. Encore trop faible pour nous éblouir, Les ténèbres, il est venu bannir. Pour notre réveil il lutte vaillamment, Afin de chasser le calme nocturne du firmament, En illuminant un peu notre vie aventureuse. Et en nous dévoilant les plaines herbeuses, Qui, ondulant sous le vent, Ressemblent à des cheveux que l'air rend vivants. Peut-être que la Terre en est la tête, Et que ses pensées s'arrêtent net, Lorsque le soleil rougeoie, Ce qui est désormais le cas je le crois. Les oiseaux accueillent cet astre, Et de leur chant, chassent les désastres, Que les humains infligent dans leur folie, Ce sont eux qui appellent la vie, Et noient les méfaits de l'homme, Dans une symphonie qui gomme, Part la même occasion, Les sensations et les interrogations. Mais seuls, leurs piaillements ne suffisent plus, Car le reste du bois s'est tu, A l'arrivée de l'artisan du malheur, Un être sombre qui fait trembler de peur Tous les animaux, qu'ils soient petits ou grands, Craignent ensemble ce démon malfaisant, Qui de part sa vile nature, Les fait vivre sous la torture. La société animale devient bestiale, Et la bête, à l'image de Bélial, Détruit par fausse nécessité, Semant le désastre de tous les cotés. Les êtres attendent un miracle, Consultant leur bio-oracle, Pour retarder l'heure funeste, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Ven 11 Sep - 8:13 | |
| La pluie nous berce de ces sons irréguliers, C'est un chant offert pour nous faire rêver Ecoutons cette eau parler de sa belle voix. Avant que les chasseurs n'arrivent et que les chiens n'aboient. La horde des cerfs est encore endormie. Dans la forêt il semble que plus rien ne vit, Hormis, quelques chouettes en quêtes de rongeurs. Rien n'est encore sorti de sa torpeur. Le vent souffle à travers les branches, Faisant craquer les bouleaux à la peau blanche, Les seuls à éclaircir ce sombre bois. Où la lumière lunaire, contre les hautes branches, ploie. Soudain, le soleil se dessine, Au travers des arbres on le devine. Encore trop faible pour nous éblouir, Les ténèbres, il est venu bannir. Pour notre réveil il lutte vaillamment, Afin de chasser le calme nocturne du firmament, En illuminant un peu notre vie aventureuse. Et en nous dévoilant les plaines herbeuses, Qui, ondulant sous le vent, Ressemblent à des cheveux que l'air rend vivants. Peut-être que la Terre en est la tête, Et que ses pensées s'arrêtent net, Lorsque le soleil rougeoie, Ce qui est désormais le cas je le crois. Les oiseaux accueillent cet astre, Et de leur chant, chassent les désastres, Que les humains infligent dans leur folie, Ce sont eux qui appellent la vie, Et noient les méfaits de l'homme, Dans une symphonie qui gomme, Part la même occasion, Les sensations et les interrogations. Mais seuls, leurs piaillements ne suffisent plus, Car le reste du bois s'est tu, A l'arrivée de l'artisan du malheur, Un être sombre qui fait trembler de peur Tous les animaux, qu'ils soient petits ou grands, Craignent ensemble ce démon malfaisant, Qui de part sa vile nature, Les fait vivre sous la torture. La société animale devient bestiale, Et la bête, à l'image de Bélial, Détruit par fausse nécessité, Semant le désastre de tous les cotés. Les êtres attendent un miracle, Consultant leur bio-oracle, Pour retarder l'heure funeste, Dans l'espoir de voir la bête partir vers l'est. En souhaitant que de la nature elle trépasse | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Dim 13 Sep - 21:05 | |
| La pluie nous berce de ces sons irréguliers, C'est un chant offert pour nous faire rêver Ecoutons cette eau parler de sa belle voix. Avant que les chasseurs n'arrivent et que les chiens n'aboient. La horde des cerfs est encore endormie. Dans la forêt il semble que plus rien ne vit, Hormis, quelques chouettes en quêtes de rongeurs. Rien n'est encore sorti de sa torpeur. Le vent souffle à travers les branches, Faisant craquer les bouleaux à la peau blanche, Les seuls à éclaircir ce sombre bois. Où la lumière lunaire, contre les hautes branches, ploie. Soudain, le soleil se dessine, Au travers des arbres on le devine. Encore trop faible pour nous éblouir, Les ténèbres, il est venu bannir. Pour notre réveil il lutte vaillamment, Afin de chasser le calme nocturne du firmament, En illuminant un peu notre vie aventureuse. Et en nous dévoilant les plaines herbeuses, Qui, ondulant sous le vent, Ressemblent à des cheveux que l'air rend vivants. Peut-être que la Terre en est la tête, Et que ses pensées s'arrêtent net, Lorsque le soleil rougeoie, Ce qui est désormais le cas je le crois. Les oiseaux accueillent cet astre, Et de leur chant, chassent les désastres, Que les humains infligent dans leur folie, Ce sont eux qui appellent la vie, Et noient les méfaits de l'homme, Dans une symphonie qui gomme, Part la même occasion, Les sensations et les interrogations. Mais seuls, leurs piaillements ne suffisent plus, Car le reste du bois s'est tu, A l'arrivée de l'artisan du malheur, Un être sombre qui fait trembler de peur Tous les animaux, qu'ils soient petits ou grands, Craignent ensemble ce démon malfaisant, Qui de part sa vile nature, Les fait vivre sous la torture. La société animale devient bestiale, Et la bête, à l'image de Bélial, Détruit par fausse nécessité, Semant le désastre de tous les cotés. Les êtres attendent un miracle, Consultant leur bio-oracle, Pour retarder l'heure funeste, Dans l'espoir de voir la bête partir vers l'est. En souhaitant que de la nature elle trépasse, Et que cette époque se passe, Pour que la vie revienne, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Lun 14 Sep - 6:05 | |
| La pluie nous berce de ces sons irréguliers, C'est un chant offert pour nous faire rêver Ecoutons cette eau parler de sa belle voix. Avant que les chasseurs n'arrivent et que les chiens n'aboient. La horde des cerfs est encore endormie. Dans la forêt il semble que plus rien ne vit, Hormis, quelques chouettes en quêtes de rongeurs. Rien n'est encore sorti de sa torpeur. Le vent souffle à travers les branches, Faisant craquer les bouleaux à la peau blanche, Les seuls à éclaircir ce sombre bois. Où la lumière lunaire, contre les hautes branches, ploie. Soudain, le soleil se dessine, Au travers des arbres on le devine. Encore trop faible pour nous éblouir, Les ténèbres, il est venu bannir. Pour notre réveil il lutte vaillamment, Afin de chasser le calme nocturne du firmament, En illuminant un peu notre vie aventureuse. Et en nous dévoilant les plaines herbeuses, Qui, ondulant sous le vent, Ressemblent à des cheveux que l'air rend vivants. Peut-être que la Terre en est la tête, Et que ses pensées s'arrêtent net, Lorsque le soleil rougeoie, Ce qui est désormais le cas je le crois. Les oiseaux accueillent cet astre, Et de leur chant, chassent les désastres, Que les humains infligent dans leur folie, Ce sont eux qui appellent la vie, Et noient les méfaits de l'homme, Dans une symphonie qui gomme, Part la même occasion, Les sensations et les interrogations. Mais seuls, leurs piaillements ne suffisent plus, Car le reste du bois s'est tu, A l'arrivée de l'artisan du malheur, Un être sombre qui fait trembler de peur Tous les animaux, qu'ils soient petits ou grands, Craignent ensemble ce démon malfaisant, Qui de part sa vile nature, Les fait vivre sous la torture. La société animale devient bestiale, Et la bête, à l'image de Bélial, Détruit par fausse nécessité, Semant le désastre de tous les cotés. Les êtres attendent un miracle, Consultant leur bio-oracle, Pour retarder l'heure funeste, Dans l'espoir de voir la bête partir vers l'est. En souhaitant que de la nature elle trépasse, Et que cette époque se passe, Pour que la vie revienne, Et que de la forêt la paix soit reine. Pour qu'enfin, les nuages partent | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Ven 18 Sep - 4:17 | |
| La pluie nous berce de ces sons irréguliers, C'est un chant offert pour nous faire rêver Ecoutons cette eau parler de sa belle voix. Avant que les chasseurs n'arrivent et que les chiens n'aboient. La horde des cerfs est encore endormie. Dans la forêt il semble que plus rien ne vit, Hormis, quelques chouettes en quêtes de rongeurs. Rien n'est encore sorti de sa torpeur. Le vent souffle à travers les branches, Faisant craquer les bouleaux à la peau blanche, Les seuls à éclaircir ce sombre bois. Où la lumière lunaire, contre les hautes branches, ploie. Soudain, le soleil se dessine, Au travers des arbres on le devine. Encore trop faible pour nous éblouir, Les ténèbres, il est venu bannir. Pour notre réveil il lutte vaillamment, Afin de chasser le calme nocturne du firmament, En illuminant un peu notre vie aventureuse. Et en nous dévoilant les plaines herbeuses, Qui, ondulant sous le vent, Ressemblent à des cheveux que l'air rend vivants. Peut-être que la Terre en est la tête, Et que ses pensées s'arrêtent net, Lorsque le soleil rougeoie, Ce qui est désormais le cas je le crois. Les oiseaux accueillent cet astre, Et de leur chant, chassent les désastres, Que les humains infligent dans leur folie, Ce sont eux qui appellent la vie, Et noient les méfaits de l'homme, Dans une symphonie qui gomme, Part la même occasion, Les sensations et les interrogations. Mais seuls, leurs piaillements ne suffisent plus, Car le reste du bois s'est tu, A l'arrivée de l'artisan du malheur, Un être sombre qui fait trembler de peur Tous les animaux, qu'ils soient petits ou grands, Craignent ensemble ce démon malfaisant, Qui de part sa vile nature, Les fait vivre sous la torture. La société animale devient bestiale, Et la bête, à l'image de Bélial, Détruit par fausse nécessité, Semant le désastre de tous les cotés. Les êtres attendent un miracle, Consultant leur bio-oracle, Pour retarder l'heure funeste, Dans l'espoir de voir la bête partir vers l'est. En souhaitant que de la nature elle trépasse, Et que cette époque se passe, Pour que la vie revienne, Et que de la forêt la paix soit reine. Pour qu'enfin, les nuages partent, Que le destin abatte ses cartes, Et que cette horrible folie, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Ven 18 Sep - 6:04 | |
| La pluie nous berce de ces sons irréguliers, C'est un chant offert pour nous faire rêver Ecoutons cette eau parler de sa belle voix. Avant que les chasseurs n'arrivent et que les chiens n'aboient. La horde des cerfs est encore endormie. Dans la forêt il semble que plus rien ne vit, Hormis, quelques chouettes en quêtes de rongeurs. Rien n'est encore sorti de sa torpeur. Le vent souffle à travers les branches, Faisant craquer les bouleaux à la peau blanche, Les seuls à éclaircir ce sombre bois. Où la lumière lunaire, contre les hautes branches, ploie. Soudain, le soleil se dessine, Au travers des arbres on le devine. Encore trop faible pour nous éblouir, Les ténèbres, il est venu bannir. Pour notre réveil il lutte vaillamment, Afin de chasser le calme nocturne du firmament, En illuminant un peu notre vie aventureuse. Et en nous dévoilant les plaines herbeuses, Qui, ondulant sous le vent, Ressemblent à des cheveux que l'air rend vivants. Peut-être que la Terre en est la tête, Et que ses pensées s'arrêtent net, Lorsque le soleil rougeoie, Ce qui est désormais le cas je le crois. Les oiseaux accueillent cet astre, Et de leur chant, chassent les désastres, Que les humains infligent dans leur folie, Ce sont eux qui appellent la vie, Et noient les méfaits de l'homme, Dans une symphonie qui gomme, Part la même occasion, Les sensations et les interrogations. Mais seuls, leurs piaillements ne suffisent plus, Car le reste du bois s'est tu, A l'arrivée de l'artisan du malheur, Un être sombre qui fait trembler de peur Tous les animaux, qu'ils soient petits ou grands, Craignent ensemble ce démon malfaisant, Qui de part sa vile nature, Les fait vivre sous la torture. La société animale devient bestiale, Et la bête, à l'image de Bélial, Détruit par fausse nécessité, Semant le désastre de tous les cotés. Les êtres attendent un miracle, Consultant leur bio-oracle, Pour retarder l'heure funeste, Dans l'espoir de voir la bête partir vers l'est. En souhaitant que de la nature elle trépasse, Et que cette époque se passe, Pour que la vie revienne, Et que de la forêt la paix soit reine. Pour qu'enfin, les nuages partent, Que le destin abatte ses cartes, Et que cette horrible folie, S'achève le temps que Terre vit, Pour revenir quand la mort l'habitera. | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Ven 18 Sep - 7:31 | |
| La pluie nous berce de ces sons irréguliers, C'est un chant offert pour nous faire rêver Ecoutons cette eau parler de sa belle voix. Avant que les chasseurs n'arrivent et que les chiens n'aboient. La horde des cerfs est encore endormie. Dans la forêt il semble que plus rien ne vit, Hormis, quelques chouettes en quêtes de rongeurs. Rien n'est encore sorti de sa torpeur. Le vent souffle à travers les branches, Faisant craquer les bouleaux à la peau blanche, Les seuls à éclaircir ce sombre bois. Où la lumière lunaire, contre les hautes branches, ploie. Soudain, le soleil se dessine, Au travers des arbres on le devine. Encore trop faible pour nous éblouir, Les ténèbres, il est venu bannir. Pour notre réveil il lutte vaillamment, Afin de chasser le calme nocturne du firmament, En illuminant un peu notre vie aventureuse. Et en nous dévoilant les plaines herbeuses, Qui, ondulant sous le vent, Ressemblent à des cheveux que l'air rend vivants. Peut-être que la Terre en est la tête, Et que ses pensées s'arrêtent net, Lorsque le soleil rougeoie, Ce qui est désormais le cas je le crois. Les oiseaux accueillent cet astre, Et de leur chant, chassent les désastres, Que les humains infligent dans leur folie, Ce sont eux qui appellent la vie, Et noient les méfaits de l'homme, Dans une symphonie qui gomme, Part la même occasion, Les sensations et les interrogations. Mais seuls, leurs piaillements ne suffisent plus, Car le reste du bois s'est tu, A l'arrivée de l'artisan du malheur, Un être sombre qui fait trembler de peur Tous les animaux, qu'ils soient petits ou grands, Craignent ensemble ce démon malfaisant, Qui de part sa vile nature, Les fait vivre sous la torture. La société animale devient bestiale, Et la bête, à l'image de Bélial, Détruit par fausse nécessité, Semant le désastre de tous les cotés. Les êtres attendent un miracle, Consultant leur bio-oracle, Pour retarder l'heure funeste, Dans l'espoir de voir la bête partir vers l'est. En souhaitant que de la nature elle trépasse, Et que cette époque se passe, Pour que la vie revienne, Et que de la forêt la paix soit reine. Pour qu'enfin, les nuages partent, Que le destin abatte ses cartes, Et que cette horrible folie, S'achève le temps que Terre vit, Pour revenir quand la mort l'habitera. Et dans ce nouveau monde remettre bas.
Je me permet de finir ce poème parce qu'il devient un peu long. Mais si on est pas d'accord avec ce choix, je peux éditer volontiers ce message. (Et pour ne pas perdre le poème on pourrait l'écrire dans un sujet fermé) | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Ven 18 Sep - 7:49 | |
| Je suis d'accord pour la cloture du poème et je t'en avait déjà parlé. Et pour ne pas le perdre j'ai déjà mon idée . Je te laisse faire les trois premiers vers puisque c'étais moi la dernière fois et que là tu n'as pu faire qu'un vers. | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Sam 19 Sep - 4:03 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Dim 20 Sep - 0:17 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Dim 20 Sep - 7:21 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Dim 20 Sep - 9:58 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Dim 20 Sep - 21:07 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Lun 21 Sep - 2:25 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps. | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Mer 23 Sep - 6:39 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Jeu 24 Sep - 3:55 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres. | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Ven 25 Sep - 6:55 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Sam 26 Sep - 1:31 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, Que sont tous ces conteurs. De tous mes voyages je retiens | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Sam 26 Sep - 8:57 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, Que sont tous ces conteurs. De tous mes voyages je retiens, Dans ces histoires sans fin, Une seule belle morale, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Sam 26 Sep - 9:09 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, Que sont tous ces conteurs. De tous mes voyages je retiens, Dans ces histoires sans fin, Une seule belle morale, De toute légende verbale Ne croire que ce que l'on voit. | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Sam 26 Sep - 9:53 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, Que sont tous ces conteurs. De tous mes voyages je retiens, Dans ces histoires sans fin, Une seule belle morale, De toute légende verbale Ne croire que ce que l'on voit, Et pas ce que l'on croit, Connaitre de la bouche des autres, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Sam 26 Sep - 10:50 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, Que sont tous ces conteurs. De tous mes voyages je retiens, Dans ces histoires sans fin, Une seule belle morale, De toute légende verbale Ne croire que ce que l'on voit, Et pas ce que l'on croit, Connaitre de la bouche des autres, Une vérité qui n'est pas notre, N'est rien de plus que des mots, | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Sam 26 Sep - 10:52 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, Que sont tous ces conteurs. De tous mes voyages je retiens, Dans ces histoires sans fin, Une seule belle morale, De toute légende verbale Ne croire que ce que l'on voit, Et pas ce que l'on croit, Connaitre de la bouche des autres, Une vérité qui n'est pas notre, N'est rien de plus que des mots, Dansants comme milles flots, Pour nous bercer d'illusions, | |
| | | Alfania Pluveh Admin
Messages : 17305 Date d'inscription : 20/08/2009 Age : 33 Localisation : Univers parallèles
| Sujet: Re: Le poème interminable Sam 26 Sep - 11:12 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, Que sont tous ces conteurs. De tous mes voyages je retiens, Dans ces histoires sans fin, Une seule belle morale, De toute légende verbale Ne croire que ce que l'on voit, Et pas ce que l'on croit, Connaitre de la bouche des autres, Une vérité qui n'est pas notre, N'est rien de plus que des mots, Dansants comme milles flots, Pour nous bercer d'illusions, Faire des etres des pions, Dont on a abusé la naiveté, | |
| | | Nogard Modérateur
Messages : 5637 Date d'inscription : 31/08/2009 Age : 30 Localisation : Dans un petit coin de l'univers, si l'univers a des coins.
| Sujet: Re: Le poème interminable Jeu 1 Oct - 2:48 | |
| Voyageant de monde en monde, A travers monts, lumières et ondes, Traversant les dimensions, Pour aller au delà de l'immagination, Voguant à des années lumière, De cette pauvre et basse Terre, Dans le but trop louable, De tester si l'univers est une fable, Et si sa taille est illimitée, Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté, Qui tromperait les légendes, Que les conteurs nous vendent, Depuis la nuit des temps, Sur ce firmament, Dont la beauté ne serait vraie, D'inquantifiables mythes sont nés, Tous plus irréalistes les uns des autres, Et servant en bons apôtres, La cause des menteurs, Que sont tous ces conteurs. De tous mes voyages je retiens, Dans ces histoires sans fin, Une seule belle morale, De toute légende verbale Ne croire que ce que l'on voit, Et pas ce que l'on croit, Connaitre de la bouche des autres, Une vérité qui n'est pas notre, N'est rien de plus que des mots, Dansants comme milles flots, Pour nous bercer d'illusions, Faire des etres des pions, Dont on a abusé la naiveté, Afin de mieux contrôler, Une société en deuil, | |
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| Sujet: Re: Le poème interminable | |
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| | | | Le poème interminable | |
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