Le poème interminable

Voyageant de monde en monde,
A travers monts, lumières et ondes,
Traversant les dimensions,
Pour aller au delà de l'immagination,
Voguant à des années lumière,
De cette pauvre et basse Terre,
Dans le but trop louable,
De tester si l'univers est une fable,
Et si sa taille est illimitée,
Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté,
Qui tromperait les légendes,
Que les conteurs nous vendent,
Depuis la nuit des temps,
Sur ce firmament,
Dont la beauté ne serait vraie,
D'inquantifiables mythes sont nés,
Tous plus irréalistes les uns des autres,
Et servant en bons apôtres,
La cause des menteurs,
Que sont tous ces conteurs.
De tous mes voyages je retiens,
Dans ces histoires sans fin,
Une seule belle morale,
De toute légende verbale
Ne croire que ce que l'on voit,
Et pas ce que l'on croit,
Connaitre de la bouche des autres,
Une vérité qui n'est pas notre,
N'est rien de plus que des mots,
Dansants comme milles flots,
Pour nous bercer d'illusions,
Faire des etres des pions,
Dont on a abusé la naiveté,
Afin de mieux contrôler,
Une société en deuil,

Voyageant de monde en monde,
A travers monts, lumières et ondes,
Traversant les dimensions,
Pour aller au delà de l'immagination,
Voguant à des années lumière,
De cette pauvre et basse Terre,
Dans le but trop louable,
De tester si l'univers est une fable,
Et si sa taille est illimitée,
Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté,
Qui tromperait les légendes,
Que les conteurs nous vendent,
Depuis la nuit des temps,
Sur ce firmament,
Dont la beauté ne serait vraie,
D'inquantifiables mythes sont nés,
Tous plus irréalistes les uns des autres,
Et servant en bons apôtres,
La cause des menteurs,
Que sont tous ces conteurs.
De tous mes voyages je retiens,
Dans ces histoires sans fin,
Une seule belle morale,
De toute légende verbale
Ne croire que ce que l'on voit,
Et pas ce que l'on croit,
Connaitre de la bouche des autres,
Une vérité qui n'est pas notre,
N'est rien de plus que des mots,
Dansants comme milles flots,
Pour nous bercer d'illusions,
Faire des etres des pions,
Dont on a abusé la naiveté,
Afin de mieux contrôler,
Une société en deuil,
Ne comptant plus les cercueils
De tant de gens trompés.

Voyageant de monde en monde,
A travers monts, lumières et ondes,
Traversant les dimensions,
Pour aller au delà de l'immagination,
Voguant à des années lumière,
De cette pauvre et basse Terre,
Dans le but trop louable,
De tester si l'univers est une fable,
Et si sa taille est illimitée,
Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté,
Qui tromperait les légendes,
Que les conteurs nous vendent,
Depuis la nuit des temps,
Sur ce firmament,
Dont la beauté ne serait vraie,
D'inquantifiables mythes sont nés,
Tous plus irréalistes les uns des autres,
Et servant en bons apôtres,
La cause des menteurs,
Que sont tous ces conteurs.
De tous mes voyages je retiens,
Dans ces histoires sans fin,
Une seule belle morale,
De toute légende verbale
Ne croire que ce que l'on voit,
Et pas ce que l'on croit,
Connaitre de la bouche des autres,
Une vérité qui n'est pas notre,
N'est rien de plus que des mots,
Dansants comme milles flots,
Pour nous bercer d'illusions,
Faire des etres des pions,
Dont on a abusé la naiveté,
Afin de mieux contrôler,
Une société en deuil,
Ne comptant plus les cercueils
De tant de gens trompés.
Par cette vile volonté,
Qu'est celle du pouvoir,

Voyageant de monde en monde,
A travers monts, lumières et ondes,
Traversant les dimensions,
Pour aller au delà de l'immagination,
Voguant à des années lumière,
De cette pauvre et basse Terre,
Dans le but trop louable,
De tester si l'univers est une fable,
Et si sa taille est illimitée,
Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté,
Qui tromperait les légendes,
Que les conteurs nous vendent,
Depuis la nuit des temps,
Sur ce firmament,
Dont la beauté ne serait vraie,
D'inquantifiables mythes sont nés,
Tous plus irréalistes les uns des autres,
Et servant en bons apôtres,
La cause des menteurs,
Que sont tous ces conteurs.
De tous mes voyages je retiens,
Dans ces histoires sans fin,
Une seule belle morale,
De toute légende verbale
Ne croire que ce que l'on voit,
Et pas ce que l'on croit,
Connaitre de la bouche des autres,
Une vérité qui n'est pas notre,
N'est rien de plus que des mots,
Dansants comme milles flots,
Pour nous bercer d'illusions,
Faire des etres des pions,
Dont on a abusé la naiveté,
Afin de mieux contrôler,
Une société en deuil,
Ne comptant plus les cercueils
De tant de gens trompés.
Par cette vile volonté,
Qu'est celle du pouvoir,
Tant sont réduis à l'éternel noir,
Succombant pour vivre dans le vide

Voyageant de monde en monde,
A travers monts, lumières et ondes,
Traversant les dimensions,
Pour aller au delà de l'immagination,
Voguant à des années lumière,
De cette pauvre et basse Terre,
Dans le but trop louable,
De tester si l'univers est une fable,
Et si sa taille est illimitée,
Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté,
Qui tromperait les légendes,
Que les conteurs nous vendent,
Depuis la nuit des temps,
Sur ce firmament,
Dont la beauté ne serait vraie,
D'inquantifiables mythes sont nés,
Tous plus irréalistes les uns des autres,
Et servant en bons apôtres,
La cause des menteurs,
Que sont tous ces conteurs.
De tous mes voyages je retiens,
Dans ces histoires sans fin,
Une seule belle morale,
De toute légende verbale
Ne croire que ce que l'on voit,
Et pas ce que l'on croit,
Connaitre de la bouche des autres,
Une vérité qui n'est pas notre,
N'est rien de plus que des mots,
Dansants comme milles flots,
Pour nous bercer d'illusions,
Faire des etres des pions,
Dont on a abusé la naiveté,
Afin de mieux contrôler,
Une société en deuil,
Ne comptant plus les cercueils
De tant de gens trompés.
Par cette vile volonté,
Qu'est celle du pouvoir,
Tant sont réduis à l'éternel noir,
Succombant pour vivre dans le vide,
Créé par l'être avide,
Peuplant une infime partie,

Voyageant de monde en monde,
A travers monts, lumières et ondes,
Traversant les dimensions,
Pour aller au delà de l'immagination,
Voguant à des années lumière,
De cette pauvre et basse Terre,
Dans le but trop louable,
De tester si l'univers est une fable,
Et si sa taille est illimitée,
Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté,
Qui tromperait les légendes,
Que les conteurs nous vendent,
Depuis la nuit des temps,
Sur ce firmament,
Dont la beauté ne serait vraie,
D'inquantifiables mythes sont nés,
Tous plus irréalistes les uns des autres,
Et servant en bons apôtres,
La cause des menteurs,
Que sont tous ces conteurs.
De tous mes voyages je retiens,
Dans ces histoires sans fin,
Une seule belle morale,
De toute légende verbale
Ne croire que ce que l'on voit,
Et pas ce que l'on croit,
Connaitre de la bouche des autres,
Une vérité qui n'est pas notre,
N'est rien de plus que des mots,
Dansants comme milles flots,
Pour nous bercer d'illusions,
Faire des etres des pions,
Dont on a abusé la naiveté,
Afin de mieux contrôler,
Une société en deuil,
Ne comptant plus les cercueils
De tant de gens trompés.
Par cette vile volonté,
Qu'est celle du pouvoir,
Tant sont réduis à l'éternel noir,
Succombant pour vivre dans le vide,
Créé par l'être avide,
Peuplant une infime partie,
De notre Terre meurtrie
Par des générations de mensonges.


Nog si tu es d'accord je cloture le poème à mon prochain poste, celui là commence à être long

Voyageant de monde en monde,
A travers monts, lumières et ondes,
Traversant les dimensions,
Pour aller au delà de l'immagination,
Voguant à des années lumière,
De cette pauvre et basse Terre,
Dans le but trop louable,
De tester si l'univers est une fable,
Et si sa taille est illimitée,
Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté,
Qui tromperait les légendes,
Que les conteurs nous vendent,
Depuis la nuit des temps,
Sur ce firmament,
Dont la beauté ne serait vraie,
D'inquantifiables mythes sont nés,
Tous plus irréalistes les uns des autres,
Et servant en bons apôtres,
La cause des menteurs,
Que sont tous ces conteurs.
De tous mes voyages je retiens,
Dans ces histoires sans fin,
Une seule belle morale,
De toute légende verbale
Ne croire que ce que l'on voit,
Et pas ce que l'on croit,
Connaitre de la bouche des autres,
Une vérité qui n'est pas notre,
N'est rien de plus que des mots,
Dansants comme milles flots,
Pour nous bercer d'illusions,
Faire des etres des pions,
Dont on a abusé la naiveté,
Afin de mieux contrôler,
Une société en deuil,
Ne comptant plus les cercueils
De tant de gens trompés.
Par cette vile volonté,
Qu'est celle du pouvoir,
Tant sont réduis à l'éternel noir,
Succombant pour vivre dans le vide,
Créé par l'être avide,
Peuplant une infime partie,
De notre Terre meurtrie
Par des générations de mensonges.
Alimentant les songes,
Des ces pauvres imbéciles,

Ok, suis du même avis.

Voyageant de monde en monde,
A travers monts, lumières et ondes,
Traversant les dimensions,
Pour aller au delà de l'immagination,
Voguant à des années lumière,
De cette pauvre et basse Terre,
Dans le but trop louable,
De tester si l'univers est une fable,
Et si sa taille est illimitée,
Ou s'il n'est que d'une vile pauvreté,
Qui tromperait les légendes,
Que les conteurs nous vendent,
Depuis la nuit des temps,
Sur ce firmament,
Dont la beauté ne serait vraie,
D'inquantifiables mythes sont nés,
Tous plus irréalistes les uns des autres,
Et servant en bons apôtres,
La cause des menteurs,
Que sont tous ces conteurs.
De tous mes voyages je retiens,
Dans ces histoires sans fin,
Une seule belle morale,
De toute légende verbale
Ne croire que ce que l'on voit,
Et pas ce que l'on croit,
Connaitre de la bouche des autres,
Une vérité qui n'est pas notre,
N'est rien de plus que des mots,
Dansants comme milles flots,
Pour nous bercer d'illusions,
Faire des etres des pions,
Dont on a abusé la naiveté,
Afin de mieux contrôler,
Une société en deuil,
Ne comptant plus les cercueils
De tant de gens trompés.
Par cette vile volonté,
Qu'est celle du pouvoir,
Tant sont réduis à l'éternel noir,
Succombant pour vivre dans le vide,
Créé par l'être avide,
Peuplant une infime partie,
De notre Terre meurtrie
Par des générations de mensonges.
Alimentant les songes,
Des ces pauvres imbéciles,
Qui plus jamais ne bougeront un cil.

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,
Et le temps de la boème
Est dépassé, l'action prime.

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,
Et le temps de la boème
Est dépassé, l'action prime.
Sur la rime,
Replongeant sur l'enfer,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,
Et le temps de la boème
Est dépassé, l'action prime.
Sur la rime,
Replongeant sur l'enfer,
De ces quelques vers,
Qui ne changeront surement rien,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,
Et le temps de la boème
Est dépassé, l'action prime.
Sur la rime,
Replongeant sur l'enfer,
De ces quelques vers,
Qui ne changeront surement rien,
Au funeste destin,
Qui nous est destiné,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,
Et le temps de la boème
Est dépassé, l'action prime.
Sur la rime,
Replongeant sur l'enfer,
De ces quelques vers,
Qui ne changeront surement rien,
Au funeste destin,
Qui nous est destiné,
Ayons la force de remèdier
Et de soigner la Terre.

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,
Et le temps de la boème
Est dépassé, l'action prime.
Sur la rime,
Replongeant sur l'enfer,
De ces quelques vers,
Qui ne changeront surement rien,
Au funeste destin,
Qui nous est destiné,
Ayons la force de remèdier
Et de soigner la Terre
Avant l'heure dernière,
De ce jeu du poème,

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,
Et le temps de la boème
Est dépassé, l'action prime.
Sur la rime,
Replongeant sur l'enfer,
De ces quelques vers,
Qui ne changeront surement rien,
Au funeste destin,
Qui nous est destiné,
Ayons la force de remèdier
Et de soigner la Terre
Avant l'heure dernière,
De ce jeu du poème,
Que deux membres aiment
A animer, pour bercer les mots

Je te propose de clore le poème si tu le souhaites, c'est ton tour de toute façon

La terre a tremblé cet année,
Elle a modifié ses traits.
Des volcans la lave a jailli,
La fumée, par les fentes, fuit,
Les nuages de cendres volutent dans l'air vicié,
Qui sera d'autant plus pollué.
La glace poursuit sa fonte,
Et la température monte,
Vers un paroxysme éthéré,
Et, des morts, des vies noyées.
L'évolution est une régression,
Désignant la manifestation,
D'un Chaos sublimé,
Par des Hommes éhontés
De toute destruction
Sait naitre une passion,
Pouvant tous nous sauver,
Encore faut-il la trouver.
Ainsi une quête est errigée,
Et prochainement sera terminée,
Car la moitié du poème,
Et le temps de la boème
Est dépassé, l'action prime.
Sur la rime,
Replongeant sur l'enfer,
De ces quelques vers,
Qui ne changeront surement rien,
Au funeste destin,
Qui nous est destiné,
Ayons la force de remèdier
Et de soigner la Terre
Avant l'heure dernière,
De ce jeu du poème,
Que deux membres aiment
A animer, pour bercer les mots
Mais voilà l'arrivée d'un nouveau
Qui peut-être les aidera
A sauver plus que des rats.



Poème terminé (il commence à être long). Merci de ta participation Free continue.

Voici le nouveau:

Je réfléchit sous la lanterne
Et voit que le plus fort gouverne.
L'envie me prend de changer les choses,